Franck Wallet, une fois sorti de l’université de Compiègne avec un master d’ingénieur, s’est lancé à travers le monde après avoir choisi le vélo comme mode de transport. Pourquoi ? Il s’est lancé un défi qui peut passer pour de l’inconscience, sans argent et sans préparation, mais sa persévérance et sans aucun doute son charisme lui ont permis de créer des contacts avec des gens aussi différents que les Iraniens, les Russes, les Hindis, les Laotiens ou les Turcs. Il explique que le vélo a été le meilleur des alliés pour lier connaissance.

Des kilomètres difficiles

Malgré les problèmes liés à la langue ou au climat, il a réussi son pari et a traversé 34 pays, connu leurs habitants qui l’ont accueilli avec une grande générosité. Il a souffert de la chaleur à Oman et du froid dans l’hiver des pays de l’Est, mais l’amitié avec laquelle il a été accueilli a été sa récompense et la raison qui l’a fait tenir. Il a tout spécialement apprécié la belle hospitalité des Iraniens.
Son tour du monde représente 33 400km. Prévu pour un an, son périple aura finalement duré 2 ans. Parisien, il était parti de Paris le 25 octobre 2008 et a rallié le parvis de Notre-Dame le 16 octobre 2010.

La langue

Tant en Russie qu’en Inde ou en Iran, le jeune homme s’est efforcé de communiquer grâce à quelques rudiments de la langue locale qu’il apprenait avant d’arriver, ce qui a renforcé ses liens avec les habitants. Pour expliquer ses projets et son parcours, il montrait et commentait les cartes qui lui servaient pour voyager.

Les contacts

Sa découverte la plus importante a été celle de la grande gentillesse et de la générosité de tous ceux qu’il a rencontrés sur son chemin. Ce voyage l’a rassuré sur la nature humaine, bien plus bonne qu’il n’aurait espéré.

Et après ?

Si ce petit récit vous a mis en appétit, si le pied vous démange, vous pouvez retrouver Franck sur son site : www.franckenvadrouille.com, pour y voir de belles photos et des commentaires.